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2021

Merci Malika d’avoir compris !!!

« Mal le prendre »,

« oui et non, oui et non« . Je ressens simplement les deux mots à la mode, chaque début d’année, tellement vides de sens. Peut-être que parfois il y a du sens… Je ne doute pas de la sincérité…Quoique, ça dépend. C’est comme le bon-jour machinal.

Je m’en contrecarre des vœux. Faisons-les à nous-mêmes et INCARNONS-LES, pour une fois ! ça pourrait changer la face du monde si chacun.e s’occupait réellement de son propre bonheur. Quand je saisis le sens, j’accueille, avec toute la patience dont je suis capable. Merci pour l’intention.

Qu’est-ce que ça peut bien signifier de souhaiter la santé, la réussite, la paix etc, quand la majeure partie des terriens se préoccupe à peine de sa santé, réussite, paix etc ?? Et quand à la fin de cette fameuse année la plupart lui crache dessus d’avoir échoué !!???

Revenons à 2020, au hasard, qualifiée de « pire année de notre existence ». Qu’est-ce qu’elle a fait cette année, pour être qualifiée de pourrie ? RIEN !! RIEN que nous n’ayons fait nous-mêmes.

Qu’est-ce que j’ai fait moi ?

De mon mieux et ça ne me vient pas à l’esprit de traiter ces 366 jours de toute la misère du monde.

Chaque année et 2020 ne sont qu’un écoulement de jours et de nuits, coincés dans un calendrier grégorien, inventé de toutes pièces par des ancêtres en mal de maîtrise du temps.

2021 sera pareille, avec un jour de moins. Pour ces 365 jours à venir, chaque jour et nuit sera rempli de nos pensées, nos actions et nos créations. A chacun.e de s’y atteler pour le bien collectif, tout en prenant soin de nous-mêmes, avec amour.

Aaaaaah l’AMOUR… « si c’était la solution, ça se saurait ! »

Justement, en ce premier jour de 2021, et si l’Amour suffisait ?

C’est-à-dire ?

En cultivant, chaque jour, l’estime de soi. S’aimer un minimum permet d’envisager l’autre autrement.

En lâchant le jugement sur nous-mêmes et sur les autres ou si c’est trop difficile, gardons-le pour nous et si c’est encore trop difficile, nous y mettons les formes… Sinon, on peut aussi vraiment s’abstenir (surtout sur les réseaux sociaux).

En lâchant la culpabilisation : ce que l’autre dit ou pense ou raconte sur nous, on s’en fiche car c’est SON interprétation, ça LUI appartient. Si rien n’a été demandé alors l’autre exprime clairement SA vision d’une situation, SA vérité et c’est OK. Si ça me chagrine, alors c’est à moi de trouver pourquoi, au lieu de déverser une colère mal orientée.

Exemple : tout ce que je viens d’écrire est ma vision de la situation. Je ne porte aucun jugement, je relate simplement des faits.

Concrètement :

Iel met un masque ? Iel n’en met pas ? Et alors ? La liberté est un concept qui existe toujours au pays des droits de l’Homme et des citoyen.n.e.s. A quoi ça servirait d’accuser les anti d’être la cause de tout ? Même les pros sont malades !

Le vaccin ? Et alors ? Chacun.e sait s’iel veut se le faire inoculer ou non. LIBRE à chacun.e ! A quoi ça servirait d’accuser les non-convaincus alors qu’il est possible d’être malade même vacciné, comme pour feu la grippe (vrai miracle de 2020, la grippe a disparu !! sacrée performance, s’il en est !!!)

Le seul conseil avisé que j’ai apprécié ces derniers jours est celui-ci :

Impossible de faire plus simple, efficace et concis !! Merci Johanna !

si ça intéresse, les chroniques d’Arnaud Riou, accompagnent les changements les plus complexes chez les ÊTRES humains. Là aussi c’est simple, concis, efficace :

Ne me faites pas dire ce que je n’ai pas écrit. S’occuper d’abord de soi n’a rien d’égoïste. C’est autre chose que « moi d’abord ! », c’est plutôt se ressourcer pour être entièrement disponible à l’autre, quand et s’il en a besoin.

Nous connaissons tous les consignes de sécurité lors d’un vol en avion : « Vous l’avez entendu des milliers de fois : mettez votre masque à oxygène avant d’aider les autres (notamment les enfants) (…) La raison ? En cas de décompression de la cabine, vous ne disposeriez que de 15 à 20 secondes durant laquelle tout l’oxygène s’échappe de l’avion (et de vos poumons), avant de tomber dans un état de confusion et d’euphorie… »

Pour prendre soin du monde et si ça nous chante faire un bilan positif de 2021 dans 364 jours, l’idéal serait de nous préoccuper d’abord de nous-même et nous saurons prendre soin de l’autre et du collectif.

Merci Kalyss pour le partage sur Instagram !

Je NOUS le souhaite et je compte participer activement.

Obligation vaccinale 2018

Je suis EJE, je ne suis sûre de rien d’un point de vue « médical » et « scientifique » sur la question du vaccin.

En tant que mère, je suis peu informée…même si je sens bien qu’aucun industriel pharmaceutique ne mérite ma totale confiance. Hélas, je suis peureuse. J’ai une trouille bleue du tétanos et autres horreurs. Mes fils sont donc vaccinés au minimum pour le cadet, au maximum pour l’aîné.

Il n’y a que certains rappels pour lesquels j’ai tenu tête à la pédiatre du cadet. Celle de l’aînée avait toute ma confiance. Quant à moi, je dois avoir reçue la panoplie complète…j’en conserve des traces.

Cela dit cette histoire d’obligation me chiffonne. J’aurai détesté être obligée. Si je l’avais été, j’aurai exigé un bilan complet pour mon enfant avant chaque vaccin, comme le mentionne la loi. D’ailleurs si j’avais eu connaissance de ce droit avant cette polémique, j’en aurai fait usage. @jout : suite à une « épidémie » de rougeole dans quelques villes françaises, j’ai demandé à la nouvelle pédiatre de mon fils ce qu’elle pensait de la seconde injection du ROR pour Cadet. J’avais refusé de la faire peu après la première. Il faut savoir qu’elle est proposée arbitrairement simplement au cas où la première n’a pas « fonctionné ». Or le seul moyen de savoir si c’est bon ou non est d’effectuer une sérologie. Ok alors faisons ça, lui ai-je dit, encore une piqûre cela dit… sauf que ce n’est pas pris en charge par la sécurité sociale ! Aberrant. Du coup, il a eu la seconde injection sans vérifier s’il était suffisamment immunisé par la première.

Et puis nous avons des droits, il me semble, en tant que patient et responsables légaux de nos enfants. C’est peut-être une bonne intention pour la collectivité d’étendre la vaccination, mais la présenter de manière répressive, en obligeant, c’est infantilisant et ça ternie cette pauvre République (déjà bien entamée). Y’en a marre d’être mal informés ou de devoir chercher la bonne information comme une aiguille dans une meule de foin.

Que dit la loi ? @jout : loin de moi l’idée de vous dire quoi faire hein ? Non, non, non. Mais faire un choix en conscience, c’est bien aussi.

Comment surseoir à la vaccination ? 

De quoi entamer un bras de fer avec l’Éducation nationale.