Physiquement non, mais psychologiquement sûrement plusieurs fois. Vivent la résilience, le deuil, l’oubli, le pardon etc.
Le pire c’est le déni, quand ta conscience refuse mais que ton subconscient attend le moment, pas toujours idéal, pour que le trauma te saute à la gorge et te fasse bien souffrir.
Débrouille-toi pour t’en dépêtrer.
Elle a bon dos cette expression. J’en ai un peu marre de la lire, à toutes les sauces, notamment la sauce de la fessée, du harnais, du Père Noël and co… oui je mélange tout, exprès ! Les enfants ne font pas la distinction, tout est émotion !
Cette expression va de pair avec « ça fait partie de la vie »…
arrgh, laissez-moi m’étrangler 2 minutes. Comment ça ? ça veut dire que c’est indispensable d’avaler des couleuvres, des arêtes ou ce que vous voulez qui fait mal ?
Ah. On n’a pas la même notion de la Vie alors. Désolée mais je ne partage pas cette vision-là, cette résignation à « en baver des ronds de chapeau »…
Pour grandir ? Pour se faire les armes ? Pour devenir quelqu’un ?
La Nature nous permet de grandir quoiqu’il arrive, pas besoin de se traîner des boulets. Et puis la Vie ce n’est pas la guerre ! Tu deviendras toi-même que tu souffres ou non. C’est plus agréable sans la souffrance, n’est-ce pas ?
J’entends déjà les « mais la vie ce n’est pas une bulle », « on ne peut pas protéger les enfants de tout »…oui peut-être et alors ? Si je travaille pour les protéger du maximum, c’est dangereux pour leur santé ?
Je souhaite et œuvre pour un quotidien et par extension, un monde plus serein et paisible, si ça dérange alors on ne travaillera pas ensemble et puis c’est tout.