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Lettre aux sénatrices et sénateurs

Le contrôle du passe coûte 60 millions d’euros par mois aux hôpitaux. Pendant ce temps, l’hôpital agonise.

Le Sénat, un site au service des citoyens.

Celles et ceux de mon département puisque j’ai participé à leur élection. Ils sont censés nous écouter et représenter la Nation. Je m’apprête à leur écrire un courriel (plus succinct que ce blabla) pour les alerter sur la vie quotidienne d’une partie des français. Plus précisément mon quotidien. Je ne me risquerai pas à prendre la parole pour les autres, ne connaissant pas leur réalité autant que la mienne.

Les voici :

Mesdames les sénatrices et messieurs les sénateurs,

Depuis le début de cette crise sanitaire, je m’efforce de m’adapter aux injonctions incohérentes de notre gouvernement. J’ai donc suivi le plus possible les consignes quand elles me paraissaient avoir un sens, ce qui a rarement été le cas.

Depuis le 21 juillet, il m’a été facile de renoncer aux lieux de loisirs et de culture. L’été étant la saison pendant laquelle c’est trop chargé, ça ne m’a demandé aucun effort. J’ai privilégié la Nature.

Depuis le 9 août, je me suis privée d’encore quelque chose de facile : les restaurants et les cinémas. Nous avions eu le temps d’en profiter durant tout le mois de juillet, histoire de passer un été, libres de nos choix.

A la rentrée, j’ai dû, inévitablement, faire un premier autotest supervisé, pour prendre le TGV et continuer une formation commencée plus tôt dans l’année. J’en ai profité pour rendre visite à ma grand-mère dans un EHPAD – non équipé du matériel pour scanner le QR code. Ehpad qui s’est permis d’entrer mes données personnelles = le résultat du test et le schéma vaccinal !!! sur un tableau Excel interne à l’établissement. Est-ce légal?

Je me suis donc rendue deux fois à Paris et à l’EHPAD pour constater une mascarade sans précédent, faite d’abus de pouvoir et d’absence de contrôle…L’incohérence dans toute sa laideur.

Depuis le 15 octobre, la situation se corse. Pour me rendre à Paris, il est dorénavant obsolète de faire un auto-test. Je suis soit obligée de déranger mon médecin traitant pour une ordonnance de test antigénique, alors que je ne présente aucun symptôme…Soit je dois débourser le prix du test, alors que mon budget de demandeuse d’emploi a été calculé au centime près, pour la formation en cours.

Ma p’tite vie

Le souci c’est que mes sinus ne supportent pas la longueur de la tige du test PCR. Un seul (non choisi) a suffit à me faire pleurer et à trainer une migraine durant plusieurs jours. C’est gênant pour suivre une formation. Selon les ordres de ce gouvernement, il me faudrait subir 6 tests en 5 semaines. Ma formation se terminera début décembre après 3 allers-retours de 1800km (900km ×2). Je n’ai aucune autre solution à ce jour, à part me déplacer sans passe ou déranger un médecin déjà surchargé. Sachant que mes billets de train sont achetés depuis 3 mois (rapport à mon budget serré).

Toutes ces injonctions se sont ajoutées sans jamais demander l’avis des citoyen.ne.s. Sans jamais prendre en compte le quotidien des français déjà bien mis à mal par des réformes anti-sociales.

Par cette lettre, je rêve peut-être que vous, les sénatrices et les sénateurs, puissiez faire une différence le 28 octobre, et nous représenter en fonction de nos réalités et pas que des vôtres. Il est évident que nous ne vivons pas dans le même monde. Comme le dit monsieur Ruffin, peut-être que gagner 682 euros par mois, serait un choc suffisamment puissant pour faire réaliser aux députés et sénateurs et même ministres, les problématiques de la plupart des français.

J’ai bien conscience que mes petits soucis ne sont rien à côté de celles et ceux qui ont démissionné ou ont été suspendus parce que « mon corps, mon choix » et par souci d’éthique, afin de préserver leurs valeurs et le secret médical, entre autres (s’il n’y avait que ça…)

J’ai une seule demande : lever ou alléger le passe-sanitaire avant le 15 novembre, puisque le taux d’incidence est en notre faveur. Il n’y a, à ma connaissance, jamais eu de « cluster » dans les TGV, les terrasses, les musées, les cinémas, les cabinets de praticiens etc.

Laissez les gens vivre au lieu de les forcer à avoir un laissez-passer qui alourdit leur quotidien.

Nous représenterez-vous à partir du 28 octobre ?

LOI n° 2021-689 du 31 mai 2021 relative à la gestion de la sortie de crise sanitaire

Ce 29 octobre, la réponse du Sénat : (c’est toujours ça de gagné…)

« Le Sénat vient d’amender fortement le projet de loi du Gouvernement :

En supprimant le pass pour les mineurs pratiquant une activité sportive en club ou en association sportive (source), au motif notamment d’ « une mesure de bon sens qui vise à permettre aux mineurs de continuer à pratiquer une activité physique et sportive au sein d’une association sportive ou d’un club, sans avoir à présenter de pass sanitaireLa pratique sportive est un élément majeur pour la santé publique de nos concitoyens. La crise sanitaire a profondément affecté la pratique des Français, notamment des plus jeunes. Le renforcement de la sédentarité est un véritable problème de santé publique, qu’il convient de combattre vivement.« 
 En supprimant le pass pour les activités de loisirs (y compris des adultes) en extérieur (source), au motif que « nous ne sommes plus aujourd’hui  dans la situation de mars 2020, ni même de celle de juillet 2021, le présent amendement vise à rétablir la liberté de l’accès aux activités de loisirs qui se déroulent en extérieur en limitant  le recours au passe sanitaire uniquement à celles qui ont lieu en intérieur.« 
 En réautorisant l’autotest (peu onéreux) réalisé sous la supervision d’un professionnel de santé comme moyen permettant d’accéder à un pass sanitaire (source), au motif que « À l’occasion de la fin de la gratuité des tests relatifs au Covid 19, le ministère a déclaré que l’autotest ne pourrait plus être valable pour bénéficier du passe sanitaire. Alors même que ce test a été toléré, sous la supervision d’un professionnel de santé durant les mois d’été, cette absence de reconnaissance soudaine de l’outil le moins onéreux pour identifier la maladie est paradoxale. S’il a été reconnu comme valable et sûr pour accéder aux ERP, l’autotest ne saurait se voir ainsi écarté, au risque de susciter l’interrogation légitime des Français quant à l’objectif premier du gouvernement, qui doit rester le maintien d’une situation sanitaire et non le développement d’outils de coercition à l’encontre des Français qui ne souhaitent pas se faire vacciner« .
 En réduisant singulièrement la durée du pouvoir réclamé par le Gouvernement avec le pass sanitaire de neuf mois et demi à trois mois et demi, en fixant une date de fin au 28 février (source), avec notamment la raison suivante : « la date proposée du 31 juillet 2022 est bien trop lointaine et ne permet pas un contrôle démocratique satisfaisant.« .
La mobilisation du Sénat a été efficace. »

Source : dejavu.legal

2021 sans P’tits Cannes à you

Mi- 2021, la culture est restreinte. Réservée à une catégorie. Les autres n’ont qu’à suivre l’exemple. Sinon rien. Pas de p’tits Cannes à you. Punis, cagibi !

Au coeur de la pandémie

Même en 2020, nous avions pu en profiter. Juste à temps avant le deuxième pseudo-confinement qui avait fait tomber à l’eau la fin des vacances. Plouf.

Cette année, nous nous passerons de festival de la culture. De la culture tout court. Elle a vendu son âme. Son accès est réservé à l’élite PASS-teurisée.

ERRATUM : Ingrid Courrèges n’a pas vendu son âme !! Grand merci à elle.

Tournée sans passe

Ma réaction

En réalité, c’est hyper dangereux de mélanger des gens qui ignorent s’ils sont malades ou non. C’est inconscient et égoïste de prendre tous ces risques. Nous pourrions tous mourir. Une vraie extinction de masse. Quelle grosse perte. (Ironie ++)

Quand j’ai vu la programmation, j’ai failli sacrifier mes sinus narines, surtout pour Bastien sans main.

Quel exemple je donne à mes fils, si je craque à la moindre tentation ?

Tant pis, nous nous contenterons des livres du « click&collect » de la médiathèque et de leurs DVD. C’est interdit d’entrer sans laisser-passer.

La France se dégrade t-elle ?

Pour un pays qui prône l’égalité… Ça ressemble plus à de la discrimination. C’est une période de l’histoire qui nous apprend à contourner l’injustice. C’est chouette, ça nous fait réfléchir. Pas de piscine ? Il y a la mer, l’océan, le lac… (c’est vrai pour les habitants de la côte ou proches d’une étendue d’eau). En hiver, c’est revigorant, dixit Wim Hof.

Pas de restaurant, ni de cinéma, ni de musées etc ? Merci les économies pour s’offrir un voyage à pieds ou en van ! La Nature reste accessible sans passe-partout… La question est : jusqu’à quand ? Et surtout quand est-ce que les gens ouvriront leurs yeux et leurs oreilles ? On est en mode collaboration les gars et les gentes dames. Vous cautionnez un mirage juteux pour des gens qui se moquent de vous.

Tout ça, toussa pour retrouver la vie d’avant ? La désillusion risque d’être rude…

A.N.G.E 6, Anne Robillard (science-fiction, fantasy)

Un Dos Tres

L’Italie nous surPASSE semble t-il. En effet, la situation est tellement graaaaave… Il parait que là-bas, ils marchent sur des cadavres à tous les coins de rue, c’est l’horreur, comme dans Contagion.

Ça sent le roussi

Est-ce que ça sert à quelque chose si je demande des explications ? Hum ? Il me manque des pièces à ce puzzle. Exemple : pourquoi les vaccinés ne vérifient-ils pas s’ils sont porteurs ou non du virus, puisqu’ils le véhiculent aussi ? Quelqu’un.e aurait-iel une réponse à cette question ? Dans un monde juste et équitable, un vrai passe sécuritaire sanitaire (autant aller au fond du fond des restrictions des libertés individuelles) proposerait 2 options : avoir contracté le virus ou avoir eu un résultat négatif à un test (fiable, si possible). Ou alors j’ai un sérieux problème de compréhension…Il y a possibilité de me répondre en commentaire. Je lirai vos suggestions. Merci d’avance d’éclairer ma lanterne.

La sentez-vous poindre le bout de son nez cette troisième dose obligatoire à venir ? Et la 4ème ? Et la 11ème ? Mais il va falloir rendre le vaccin de la grippe obligatoire aussi, parce qu’il y a des morts chaque année. Et oui, la grippe n’a finalement pas disparue. La gastro non plus d’ailleurs, mais elle ne tue pas, elle fait juste chier suer.

Le rapport avec la petite enfance ?

Finalement les 80 ans sont tous vaccinés ou presque. Mais de quoi ont-ils peur ???


Sans transition, c’est une chanson espagnole qui illustrera cette digression d’actualité :

Un, dos, tres

Un, deux, trois

Un PASsito pa’lante María

Un petit pasSE vers l’avant Maria

Un, dos, tres

Un, deux, trois

Un PASsito pa’atras

Un petit pasSE vers l’arrière

En musique :

autant danser, on ne va pas se laisser abattre !

Un peu de science, c’est important :

La bébé-box à la française, éd.2022

C’est la nouvelle fausse bonne idée du cabinet du secrétaire d’Etat en charge de l’Enfance et des Familles : une bébé box à la française. Cocorico !! Pour accompagner les parents dans leur post-partum et dans leurs nouveaux rôles. La surprise de son futur contenu a largement été commenté. A juste titre.

A la @verinaze « on t’a ramené de la crème »

J’ignorais que les réflexions autour des 1000 premiers jours puissent aboutir à un sac rempli de trucs. (Merci pour l’info, les doulamies). En même temps, ce n’est pas si surprenant. C’est la mode des tote-bag depuis un moment, c’est écolo. Un livre est déjà offert à la naissance dans certains départements. Les parents reçoivent depuis longtemps une boite publicitaire remplie de couches et de cosmétiques. C’est loin d’être nouveau. Pour ne pas trop copier sur la Finlande et depuis peu l’Ecosse- qui offrent une grande boîte-lit remplie de machins à la naissance- un sac en tissu a été choisi pour la France (rapport à la MIN, ex MSN).

Oh mais on n’est jamais contentes nous autres, hein ! Qu’est-ce qu’on a encore à râler ? On nous fait des cadeaux bien-être et préventifs, de quoi se plaint-on ? C’est mieux que rien…

Cette propension à se contenter de « mieux que rien » est purement française, non ?

Qu’est-ce qu’il a ce sac « bébé box » à la française ?

Il contient un problème majeur, à mon sens et à celui de plusieurs d’entre des femmes et des parents. Attention scoop : il contient des injonctions. Et avec les millénaires, nous avons développé des allergies.

Le côté pédagogique du sac : il contient une turbulette (pour bébé turbulent). Outil indispensable pour apprendre à coucher son bébé… Mes pauvres bébés on raté tout ça.

Béziers - L'équipe de la maternité vous conseille sur la meilleure façon de coucher votre bébé
Béziers – L’équipe de la maternité vous conseille sur la façon de coucher votre bébé. Le bébé en image semble réussir à dormir sans, c’est sûrement l’été.

Quelles injonctions ?

Je cite :  » (…) un produit hydratant sera inclus pour rappeler à la mère qu’elle doit prendre soin d’elle et ne pas s’oublier. La « bébé box » sera un sac en bandoulière pour inviter les parents « à sortir, à ne pas s’oublier en tant que parent, à aller faire du sport ou des activités à l’extérieur« .

Quel genre de cerveau a pondu ça ? Des nullipares ou des primipares ou des multipares ou des hommes peut-être bien ? Qu’est-ce qui a bien pu leur passer par la tête ?

Quand je relis mon premier post partum, je ne visualise pas où le produit hydratant aurait pu me permettre de prendre soin de moi, quand je plongeais dans les abîmes de l’inconnu. Je situe mal la place du sac en bandoulière qui m’aurait invité à sortir, à aller faire du sport ou des activités à l’extérieur parce qu’en fait JE N’EN AVAIS NI LA FORCE NI L’ENVIE !! Celles et ceux qui en ont la force et l’envie, n’ont, à priori, jamais eu besoin de sac en bandoulière.

Rhaaaa mais foutez-nous la paix, bordel !! Est-ce que c’est POSSIBLE d’écouter les parents ? Je ne DOIS rien du tout. Je fais ce que je peux. Il serait peut-être temps de nous demander de quoi nous avons vraiment besoin et vous découvrirez que c’est au cas par cas. Cette bébé box à la française, ne saurait répondre à tout.

« Mais c’est un bon début, t’es chiante pénible de voir le mal partout ! »

Oui mais non. Répondre à des besoins fondamentaux-bousculés par une grossesse, un accouchement et un début de parentalité avec du matériel-c’est être à côté de la plaque.

@jout : J’ai découvert un autre sac, autrement plus réfléchi chez Mère nature speaking

Mère Nature

Laissez les mères tranquilles

Je suis en retard sur la télé-réalité française l’information politique nationale (c’est sur voici que j’ai retrouvé l’extrait, donc ça donne le ton). Quand j’ai regardé la dernière vidéo de J’suis pas content TV, j’ai découvert les pleurnicheries du garde des sots, oups sceaux, euh Sceaux. Dur dur de trouver le respect et la politesse dans ce panier de crabes.

A chaud

J’ai un message pour ce monsieur : « les mères ne sont pas TOUTES COMME ÇA ».

Mon gamin, peu importe l’âge qu’il a, s’il est mis en examen, j’aurai du chagrin seulement s’il est coupable. Dans le cas d’un homme plus que mûr, si je suis proche de lui et que je l’ai vu passer du côté obscur de la force, j’aurai surtout honte d’avoir engendré un connard hein ! (re-oups, pardon) Parce que je serai bien naïve de croire tout ce que mes enfants, devenus adultes, disent, sous prétexte qu’ils sont sortis de mon ventre. A un moment donné, il ne s’agit plus de nos enfants de la même manière, quand ils sont majeurs et vaccinés (surtout en 2021). Je suis une mère, pas un argument fallacieux pour faire pleurer dans les chaumières.

Message à mes fils

Ils n’auraient aucun intérêt à parler de moi et surtout pour moi (et qu’en plus je le sache). C’est tellement pathétique d’évoquer sa génitrice adorée, au bord d’une émotion tellement surjouée, qui plus est à la télévision. Les comédiens de ce gouvernement ont un talent fou, on devrait les enfermer dans un secret story : il faudrait découvrir qui a un casier judiciaire vierge et ce serait le/la seul.e à pouvoir en ressortir ! Rhoo j’ai un brevet à déposer sur cette excellente idée !!

Conclusion

C’était un petit aparté, comme ça en passant. Mes fils sauront à quoi s’en tenir… Au cas où, ils m’avaient mal cernée.

Foutez-nous la paix quand vous savez pertinemment que vous vous êtes mis dans la mouise. Assumez vos péchés capitaux. Nous sommes là pour tout, SAUF pour vous servir de paravent ou de prétexte ou d’excuse, capiche ? C’est fini les jupons de maman.

Illustration desdits sexe faible et sexe fort

Tomber le masque ?

Je parlerai des enfants, parce que mon avis sur la question ne fera pas l’unanimité et ce site n’est pas un lieu de polémique.

J’ai reçu, ce matin, un mail me faisant part d’un nouvel article des Vendredis intellos : arrêt du port du masque à l’école.

Ce témoignage me fait chaud au coeur. J’avais été étonnée des réactions quand j’expliquais que mon fils avait préféré le porter et que j’avais respecté sa décision. Avec du recul, le « danger » observé est une confusion de certains sons qui ralentissent encore la compréhension.

Aujourd’hui, à 7 ans et demi, (soit « 10 mois » d’école après), il exprime qu’il n’en peut plus, ça l’étouffe et je le comprends. J’ai passé 1h30 masquée, assise, dans sa classe pour la réunion de rentrée, j’ai cru que j’allais tourner de l’oeil. Quand il sort à 16h, avec le masque sur le menton et bien je ne vais pas lui faire de reproches, hein. Il a le droit de respirer correctement, bordel que diable diantre !

Hélas, nous faisons partie des départements qui n’ont pas encore cette chance d’arrêter de le porter. Je n’ai pas compris les raisons avancées par les bonimenteurs. Par contre, mon fils m’a entendue en parler et m’a demandée pourquoi des enfants avaient le droit de ne plus porter de masque et pas son école et lui.

Et là, ça me questionne. Parce qu’il est évident que l’on nous prend quelque peu pour des demeurés. J’ai regardé la TV pendant 4 jours à Paris et les infos qui se disent dans cette lucarne sont une insulte à notre intelligence. Bon, c’est pareil sur la toile, j’admets. Et en même temps sur le net, je choisis ce que je lis ou veux entendre. A la TV, j’ai eu beau zapper, j’ai entendu les mêmes billevesées sur plusieurs chaînes, sans parler des publicités de propagande à vomir…oups, je digresse.

La France dévie, de plus en plus insidieusement, de la liberté, de l’égalité et de la fraternité. Finalement peu de français s’en rendent compte. Comme dit une doulamie, si nous pouvions simplement nous accepter les uns les autres tel.le.s que nous sommes, le monde changerait déjà tellement (en mieux) !!

y’a des masques plus fun que d’autres

@jout

L’actue comme tu ne l’as jamais vue

@Antisava après la Bulle des doulamies

Hier soir, j’ai aperçu la vidéo de Johanna Awakening dans les notifications youtube. Je ne l’ai pas regardée mais j’ai trouvé le concept original. J’aime pas dire « ça va » mais je le dis aussi parfois.

Suite aux 3 jours de programme intensif de la formation en Doulisme, je me suis dit que ce serait drôle de me prêter au jeu.

Merci Johanna, je ne connaissais pas ce jeu

Quand j’étais petite c’est à partir du collège que j’ai des souvenirs. Je voulais être reporter photographe.

La dernière fois que j’ai été émue c’était jeudi en compagnie de ma grand-mère qui a validé avec enthousiasme le célibat, sans enfants de ma soeur. Et puis vendredi, samedi et dimanche avec les doulamies. J’étais plus bouleversée que émue.

Ça me plairait de dîner avec les doulamies, mais c’est loin d’être simple pour moi.

La moi de 15 ans aurait peut-être voulu entendre que ses choix n’étaient ni bons ni mauvais, juste des choix.

3 grands rêves :

  • Être sereine
  • Etre tisaneuse
  • Parcourir le monde

Dernier moment d’audace : prise de parole dans le groupe des doulamies. Pas envie de détailler.

Dernier fou rire : toute l’après-midi de dimanche pour tellement de raisons et dans un tel état de saturation sensorielle et intellectuelle que je ne saurai détailler.

J’ai dit merci à 18 êtres extraordinaires parce qu’ils sont là.

Il est 07h07 quand j’écris ces mots : j’aime Paris encore tranquille, quitter Paris détendue, rentrer chez moi.

Si je meurs dans 1 an, je ne change rien, sauf peut-être l’envie de voyager. Encore faudrait-il que le monde n’ait plus une peur insensée d’un virus…

J’apprécie particulièrement les 17 doulamies et LE sage-femme. Je connecte de manière plus évidente avec l’une d’entre elles, elle se reconnaîtra. Ça ne s’explique pas.


C’est pas ici que je vais raconter ce que je n’ai jamais raconté à personne.

La meilleure chose qui pourrait m’arriver c’est de vivre sans argent.

Je suis reconnaissante d’être entourée d’amour.

Tous les épisodes de ma vie, difficiles ou non, font celle que je suis aujourd’hui. C’est dans le temps que j’évolue.

J’adorerai le super pouvoir de me téléporter pour éviter de prendre l’avion.

Même si nous en avons marre de l’entendre et de le lire, il n’y a rien à changer dans le monde. C’est à chacun.e d’entre nous d’incarner le changement que nous voulons voir. Je travaille à changer ma confiance en moi pour la rendre plus solide.

Je tenterai bien d’échanger ma place une journée pour celle d’un.e musicien.ne dans un orchestre et expérimenter de jouer d’un instrument.

Chez moi j’aime savoir dire non, écouter et m’écouter.

S’il me restait un objet : un livre qui se relit sans fin. Je n’ai pas encore trouvé lequel.

Les 5 tibétains sont en cours de lecture comme habitude matinale à venir.

Je ne suis pas le maître du monde, ça doit être tellement chiant comme place. Pour éradiquer la faim dans le monde, j’imagine qu’il est necessaire de comprendre pourquoi des humains veulent tout garder pour eux…


Si je pouvais revoir quelqu’un.e qui est mort.e, je pense que c’est parce qu’il ou elle aurait quelque chose à me dire et non l’inverse. La seule fois où j’ai pensé que mon arrière grand-mère avait un message, c’était compliqué à recevoir.

Si je gagne au loto, je libère la maison que je loue. Je m’installe dans un van en famille et je parcours le monde. Ensuite nous nous installons dans un eco-village qui nous correspond et nous vivons du local de saison avec le plus d’autonomie possible, en finançant des projets qui nous tiennent à coeur.

L’hébreu moderne est une langue qui m’intéresse.

Les compétences qui me manquent sont nombreuses. Ça me faciliterait la tâche de mieux visualiser dans l’espace et dans ma tête, d’être plus à l’aise avec les chiffres et de réussir à accueillir les émotions sans être envahie.

J’ai souvent été intriguée par lépoque des années folles. Y vivre pas vraiment, mais y faire un tour, pourquoi pas.

Me réincarner en Nessie ça serait chouette. Au moins on lui fout la paix.

Les profs ont-ils vraiment le pouvoir de changer quoique ce soit dans ce système ? L’union fait la force cela dit. Ils sont plus nombreux que les bureaucrates qui les dirigent… Je suis incapable de me mettre dans la peau d’un.e prof, je ne comprends pas l’éducation nationale.

Sur une île déserte avec de quoi boire et manger, je prendrai le livre qui se lit sans fin, un opinel, une lampe de poche solaire et c’est tout.

Ma journée idéale seule et/ou en famille

  • Réveil quand j’ai assez dormi
  • 5 tibétains
  • Collation si j’ai faim
  • Jardinage
  • Cueillette/tisanes
  • Baignade/balade/lecture
  • Participation au collectif (en fonction des besoins et de mes compétences)
  • Partages/discussions
  • Chants/danses
  • Repas en famille ou entre amis ou en collectif
  • Sommeil de la nuit

Je n’ai pas de salaire actuel. Je perçois de l’argent sans travailler parce que j’ai été salariée. J’en profite pour me former et être plus utile au monde qui change.

Ça n’a aucun intérêt pour moi de devenir experte dans un sport. Ça me plairait d’être à l’aise sur les vagues, sans esprit de compétition.

4

Devenir célèbre ? Pourquoi ? Quelle angoisse.

Ce serait génial de réussir à faire comprendre au maximum de mes contemporains que la peur est la pire option/solution.

Pas compris l’avant-dernière question.

Si j’atteins l’âge de 102 ans, mon mental serait sûrement fier d’avoir été là.

Mon pouvoir ?

La p’tite histoire

Durant le voyage-aller vers la capitale, un monsieur qui est monté après ma gare, est venu me demander s’il pouvait s’asseoir à côté de moi, en me précisant que quelqu’un.e lui avait pris sa place. C’est bien la première fois que je réponds autre chose que « oui, bien sûr ». Je me suis entendue lui dire un truc comme (j’oublie les mots exacts quand ce n’est pas mon mental qui agit) : « mais c’est votre place, allez-la reprendre !! » Il m’a regardée d’un air absent et est allé voir plus loin, en marmonnant « la dame n’a pas voulu me laisser s’asseoir à côté d’elle, est-ce que je peux ici ? » J’avoue que je ne sais pas trop ce qu’il m’a pris parce que j’ai dit tout haut « mais enfin monsieur, je n’ai rien refusé, je vous ai suggéré de reprendre votre pouvoir !! » Et là, il s’est un peu agité en me demandant de me détendre…ou un truc dans le genre. C’était tellement surréaliste que je ne sais plus trop ce qui s’est dit exactement.

Il y a eu un silence étonné dans la rame… Déjà au moment du départ, une mère et son fils adulte avait viré deux squatteurs de leurs places. Ces squatteurs avaient aussi leurs places squattées. Ils avaient d’abord refusé de bouger. Tranquillement, la mère et son fils leur avait expliqué qu’ils allaient se dépêcher de libérer les places qui leur étaient destinées. Leur détermination/pouvoir m’avait laissée songeuse.

Concrètement dans cette situation, si chaque voyageur se laisse prendre sa place, ça devient le bazar dans le train. Ce serait pour rien que des numéros de place nous sont octroyés ? Si à chaque arrêt, chaque voyageur qui veut s’installer découvre quelqu’un.e à sa place et donc vadrouille pour en trouver une autre qui sera libre jusqu’au prochain arrêt, on n’a pas fini de jouer aux chaises musicales. À la réservation, il est possible de choisir sa place. Tout le monde préfère s’asseoir là où il/elle est confortable. Et puis dans ces nouveaux TGV, il y a des rames au calme, des rames familiales, d’autres conviviales, il me semble.

Le pouvoir, non abusif (très très important !!)

Tout ça pour en revenir au pouvoir que nous avons tous en nous : celui d’être à notre place, de l’occuper. Dans tous les domaines de la vie. Pas seulement dans le train.

Dans le monde spirituel et aussi celui du développement personnel, cette idée de re-trouver, re-prendre, garder et utiliser son pouvoir intérieur/personnel est souvent évoqué. Surtout ces derniers temps. Je l’entends régulièrement sur YouTube. De nombreux avocats parlent de connaître et faire-valoir nos droits. C’est presque pareil : le plus important est à l’intérieur, pas que à l’extérieur.

L’actualité sanitaire

Avec du recul, je me souviens de certains événements depuis 2020. Notamment à chaque annonce gouvernementale : beaucoup pensait que puisque c’était dit, c’était acté.

Jusqu’à preuve du contraire, ce n’est pas le président de la République ni les membres du gouvernement qui commandent… Il y a des étapes avant que ce qui sort de leur bouche puisse être validé. Quoique, ça c’était vrai avant. Oui la vie d’avant tant regrettée. Je pense à la vie d’avant en 1980, quand j’étais enfant et insouciante et que je pensais que personne ne commandait personne.

Concernant, le pa$$e sécuritaire sanitaire, j’étais effarée de voir tellement de gens penser que la vaccination était devenue obligatoire dès le 9 août. Alors qu’il y a toujours eu (pour combien de temps encore ?) trois moyens distincts de l’obtenir.

C’est quoi « mon pouvoir » ?

C’est ce que mon coeur diffuse. Ce que mon âme ressent. Ce que mon intuition sent. Récemment, un ami m’a dit que mon intuition se trompait et que ce serait mieux de ne plus l’écouter. Je me suis coupée de ma vérité propre depuis trop longtemps pour l’éteindre maintenant. Tant pis si d’autres doutent de moi. Il est temps de s’occuper de notre Intérieur avant d’aller voir celui des autres, surtout si nous n’y sommes pas invités.

« Mon pouvoir personnel, non abusif » c’est qui je suis. C’est le respect, l’estime de moi, la confiance en moi que je m’accorde. C’est la place que j’ai dans ce monde. C’est ma place pour atteindre mon accomplissement personnel. La société que nous avons tous créée est loin, loin, loin de nous permettre d’accéder à tout ça.

A croire que nous ne sommes présents sur Terre que pour acheter, consommer, travailler, dormir et obéir.

C’était peut-être le cas avant, mais maintenant c’est fini.

La sacro-sainte Obéissance

Qui, que, quoi, dont, où ?

A laquelle, il s’agirait de se soumettre. Une sorte d’obédience aux lois de l’Absurdie. Amen amen. Est-ce une valeur ? Si oui, est-elle positive ? Notamment en 2021, pour bien planter le contexte. Est-ce qu’au plus profond de moi, je dois obéir ? A qui ? Pour quoi ? Au hasard : au tout-puissant dirigeant de mon pays ? Pour lui plaire, pour éviter les ennuis, par peur des représailles… ? Dans l’intérêt de qui ? L’intérêt collectif ? Mais en quel honneur ? Pas compris. Est-ce que ce serait vraiment l’anarchie si nous nous en tenions à notre propre pouvoir, sans le donner, en permanence, aux autres ?

Ma p’tite histoire

Pour le cadre de l’Education Nationale, j’ai été une « mauvaise élève ». Médiocre, dès le collège. A priori, sans le faire exprès, j’ai rapidement déplu aux autres, scolairement. Pourtant qu’est-ce que j’étais OBEISSANTE ! Non conforme mais SOUMISE. Devenue adulte, je suis loin de plaire à tout le monde, et tant mieux ! Qui a réussi cette performance ? Mère Teresa, peut-être…mais l’obéissance n’a rien à voir avec sa popularité.

Eduquée avec ce biais-là, j’ai moi-même mis en pratique l’adultisme, avec une volonté farouche d’obtenir la sacro-sainte Obéissance. Mes enfants en ont donc fait les frais. Mea culpa. La faute aussi à ces relents tenaces de société patriarcale, dont il est difficile de se débarrasser. J’évoque l’adultisme car il incarne à la perfection l’Autorité parentale et la toute-puissance des adultes. Qui exige l’obéissance ? Les adultes exclusivement.

J’ai désobéi

Je me suis rendue à Paris quelques jours, sans trouver d’alternative au pa$$e-partout. J’ai demandé à mon médecin traitant de superviser un auto-test. Donc, je suis partie avec mon papier prouvant ma SAINteté. Il m’a surtout servi à rendre visite à ma grand-mère qui survit dans un mouroir. D’ailleurs, va falloir qu’on m’explique : comment un papier empêche le virus de circuler ? Qui plus est dans un lieu où, à priori, tout le monde est protégé par la vaccination. Des membres de ma famille sont vaccinés. Ils ne se font plus tester et donc ne savent même pas s’ils sont malades. (Si j’ai bien compris, deux injections ne protègent pas suffisamment des variants de l’alphabet grec). Ils continuent pourtant de se rendre dans des lieux dits « à risque ».

Pour mon retour, aucune pharmacie n’a accepté de superviser mon test. Je l’ai donc fait seule. J’ai pris le train sans le précieux sésame, sans le fumeux QR code. J’étais prête à défendre ma cause, parce que rien n’est fait pour faciliter l’obtention de ce truc. C’est ouvert uniquement aux horaires de travail (même le samedi. Le dimanche, le virus ne circule pas) et il y a de l’attente…Si vraiment la pandémie était aussi grave, je n’aurai pas galéré à faire valider mon état de SAINteté santé (que je sois vaccinée ou pas).

6h30. Tout est fermé…

À mon arrivée, un jeune en blouse bleue m’a demandée mon passe. Je lui ai dis NON. D’une part, parce qu’il n’a aucun droit de me le demander dans l’enceinte de la gare qui n’y est pas soumise. D’autre part quelle est sa fonction ? Est-il assermenté pour exiger de moi quelque chose de confidentiel ? Non. Donc non. C’est tout simple. Désolée pour lui qui a sûrement trouvé ce job à la con pour avoir un peu d’argent. Evidemment, il m’a laissée tranquille. Je le voyais mal appeler la police. Elle a quand même des affaires plus urgentes à traiter. C’est une toute petite illustration d’une de mes désobéissances au quotidien.

Adulte VS enfant

Je suis adulte, je me le permets. Un enfant est souvent à la merci du monde des adultes touts-puissants. Aucun adulte ne supporterait la pression permanente endurée par les enfants. Il suffit de se mettre quelques instants dans leurs chaussures.

Hier mon fils m’a montrée la manière dont était évalué son comportement durant la journée, avec un code couleur…et sur des critères spécifiques. Celui qui m’a le plus choquée c’est : « je me suis levé ». L’être humain est une espèce en mouvement. Il a BESOIN de bouger. Son corps est vivant par définition. Un enfant encore plus. Pour moi, c’est une torture d’exiger d’un enfant qu’il arrête de bouger et pourtant je le fais. Je demande souvent à mon fils de cesser de gigoter. Il est incapable d’obéir à cette injonction donc tout ceux qui l’exigent, moi la première, perdent leur temps et leur énergie. Malheureusement il est le seul à payer, soit il est grondé, soit il a un code couleur qui montre du doigt qu’il a désobéi.

C’est un sujet sur lequel je peux être intarissable. Je m’en tiendrai là. Honnêtement, je n’ai jamais retiré de satisfaction à l’obéissance de mes enfants. Je me sens plutôt mal après qu’ils aient obtempéré. Je préfère privilégier leur coopération, de leur plein gré. C’est un travail de longue haleine de ne pas vouloir avoir le dessus sur plus jeune que soi. D’ailleurs ça ne fonctionne pas du tout à tous les coups et curieusement, je suis soulagée qu’ils s’opposent à ma volonté.

Au final, le code couleur de l’école, je l’associe à l’humeur des adultes. Clairement chez moi, c’est souvent l’humeur qui dirige certaines périodes du quotidien. Quand je suis atrabilaire, comme Émile… Tous aux abris !!! Mes enfants le savent et je redis qu’ils ne sont jamais responsables de mes humeurs. Ce serait plutôt à moi, de faire un tableau avec un code couleur pour prévenir de mes acrimonies.

Si j’avais eu une vocation…

Si j’avais su quoi faire dès le collège, j’occuperai sans doute un poste, quel qu’il soit, en fonction de mon niveau scolaire, médiocre.

Si j’avais suivi la logique du parcours après le bac STT, je serai secrétaire ou assistante de direction suite à un BTS.

Si j’avais continué les études d’histoires de l’art et d’archéologie, je serai peut-être employée dans un musée ou autre.

Si j’étais restée à l’audition pour la compagnie Karine Saporta, je serai peut-être en tournée dans une troupe de danseuses et danseurs.

Si j’avais été au bout des études entamées en théologie protestante, je prêcherai tous les dimanches en tant que pasteure dans une petite paroisse, quelque part dans le monde.

Si j’avais suivi la cohérence de ma formation d’éducatrice de jeunes enfants, je dirigerai une structure d’accueil petite enfance ou je serai coordinatrice dans une municipalité.

Au lieu de tout ça, je cherchais encore ma voie en 2020. Tous ces « si » sont autant de vies parallèles que je n’ai pas empruntées. Parce que ce n’était pas aligné avec ce que je suis. Tout ce déroulé aurait été peut-être plus fluide si j’avais su qui je suis dès le départ. Or l’école n’aide en rien à se connaître soi-même, ni même à découvrir ce pour quoi l’on est doué.e.

Aujourd’hui, je sais que JE SUIS, c’est déjà ça. Qui ? C’est encore un bout de chemin à parcourir. C’est comme-ci j’attendais toujours mon ordre de mission sur Terre…Mais que suis-je venue faire dans cette galère ? Mystère.

Doula semble être une étape. Ultime ? J’aimerai tant. Ne pas savoir quoi faire de sa vie, c’est usant le plus souvent, surtout pour les proches.

La vocation, c’est tout de même enviable : suivre un tracé jusqu’à un objectif précis et l’atteindre. J’ai l’impression que c’est plus simple. Moins compliqué que d’errer, sans but, d’un intérêt à un autre intérêt dont je fais le tour en moins de deux années…

A défaut de trouver MA voie, j’aspire à en trouver UNE. Je pense avoir ressenti ce qui l’entoure. Il est toujours temps après la quarantaine !

Ce blabla pour les autres comme ça, qui cherchent, cherchent…Des chercheurs et chercheuses de leur potentiel : ce qui fait vibrer leur coeur. Parce que c’est là, forcément, quelque part. Nous avons tous un potentiel, mais lequel ? Et quoi en faire ?

Ce qui fait briller ta lumière, toi seul.e sait où c’est caché. Quand tu accèdes à ta magie, ton âme agit.

Charlotte Hoefman