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« Tu es trop fusionnelle avec ton fils »

Dans ta face

La première fois que je me suis entendue dire ça, mon bébé n’avait même pas deux ans. Qui plus est par quelqu’une qui était nullipare. Je précise parce qu’elle sait quoi de la relation mère-bébé la nullipare ? Elle se souvient de la sienne avec sa mère ? C’est quoi son expertise ? Elle ne travaillait même pas dans la petite enfance. Et surtout je n’avais posé aucune question sur le sujet. En fait ma relation avec mon enfant ne concerne que lui et moi.

Je ne me rappelle plus ce que j’ai répondu ou pas. Je n’ai jamais pris cette affirmation au sérieux. C’était pourtant une copine. (Je distingue amies, copines et connaissances). Elle connaissait la situation. Une situation complexe par ailleurs. Qui expliquait aisément le pourquoi de la pseudo-fusion. Déjà « trop fusionnelle » qu’est-ce que ça veut dire ? Après la fusion, y’a quoi ? La dissolution ? L’explosion ? Le big-bang ? Je n’embrasse même pas mes fils sur la bouche !!

Y-a-t-il un danger problème ?

Si oui quelle est la solution pour absolument défusionner !?

Ça va être vu. Je ne vois aucun problème à être fusionnelle. Pendant 9 mois, nous l’avons été. L’enfant qui a eu son quota de fusion défusionne tout seul. (Sauf si emprise, déviance, pathologie…) Il n’a qu’un objectif dans la vie c’est découvrir le monde.

Conclusion

Oui déjà, ce sujet ne devrait même plus être débattu. C’est vu et revu et validé et revalidé par des experts de la parentalité et de la petite enfance.
Plus l’enfant est porté, écouté, respecté, câliné selon ses besoins à lui, accueilli dans ses émotions, plus il sera autonome et indépendant.

Si vous vous l’entendez dire comme un reproche, dites-vous que c’est de l’ignorance. Personne ne sait mieux que le parent. Personne.

Si vous avez envie de le dire, gardez le dans votre tête, écrivez-le sur un papier et brûlez-le. C’est une phrase de merte.

Et mes enfants vont bien. Merci.

Petit rappel de définitions

J’ai souvent remarqué que les mots ont le sens que leur donne leur utilisateur. C’est gênant dans une conversation ou un échange sur les réseaux sociaux.

Quand j’étais à l’école, j’ai appris à utiliser un dictionnaire. Dans un dictionnaire, il y a tous les mots de la langue française et chaque mot a une définition, avec parfois plusieurs sens, selon un contexte.

Il me semble que trop de mots perdent leur sens initial et sont utilisés à toutes les sauces, sauf la-leur.

Je commence par celui que je considère comme un gros mot. Son utilisation est le plus souvent péjorative et cible uniquement le comportement de l’enfant quand l’adulte est responsable à 100% de ce qui arrive.

Rappel de définition : CAPRICE

Je l’attribue à des célébrités qui surjouent, en mode diva. Par exemple Unetelle qui a exigé de se laver les cheveux avec de l’eau minérale en bouteille. Autres caprices ici.

Puisque ce mot existe encore et toujours dans le champ de la petite enfance, voici la définition que je préfère, trouvée sur face de bouc. Grand merci à son autrice Mélody Sweetlove.

Les enfants n’ayant pas la capacité neurologique d’obtenir ce qu’ils désirent (pas ce dont ils ont besoin) en contraignant et/ou menaçant leur entourage, j’estime que ça ne les concerne pas.

Rappel de définition : BIENVEILLANCE

Je ne saisis pas en quoi éduquer avec bienveillance pourrait engendrer une catastrophe éducative future.

Rappel de définition : ENFANT ROI

Il me paraît important de préciser que ce terme date des années 68 dans sa signification péjorative, elle aussi.

L’enfant roi définition

Rappel de définition : POSITIF

L’éducation dite positive :

Son histoire : « Également appelée « parentalité » ou « parentalité positive ». C’est une éducation qui vise à accompagner l’enfant afin qu’il se développe affectivement et socialement. Tout au long de son enfance, il sera soutenu par ses parents qui lui accorderont bienveillance et confiance. Le but de ce concept est de réveiller chez l’enfant sa confiance en lui, son sens de la responsabilité pour le rendre beaucoup plus épanoui. 

L’éducation positive est un concept récent, mais avant qu’il ne soit mis au point, de nombreux psychologues, pédagogues et éducateurs se sont penchés sur le sujet pour assurer le développement de l’enfant. Une des précurseurs les plus célèbres de ce concept fut Maria Montessori (1870-1952) qui a donné naissance à un système d’éducation bien particulier que de nombreux établissements scolaires appliquent jusqu’à nos jours. 

Ce n’est que dans les années 70 que le psychologue Marshall B. Rosenberg véhiculera pour la première fois le terme d’éducation positive. Comme son nom l’indique, ce concept repose sur la non-agressivité des paroles adressées à l’enfant et sur l’empathie. En d’autres termes, il s’agit de ne pas lui crier dessus, de ne pas porter de jugement et de favoriser le dialogue et la compréhension. »

Les bases de l’éducation positive

  • Des parents qui prennent soin d’eux
  • Les enfants ont des émotions
  • Avoir de la bienveillance
  • Être ferme

Peut-être que j’interprète mal ce que je lis, mais je ne vois pas le rapport entre l’éducation positive et le phénomène d’enfant-roi.
Comment vouloir du bien en reconnaissant les émotions de nos enfants ; en leur expliquant fermement ce qui est possible ou pas, ; en sanctionnant quand la règle n’est pas respectée ; comment un enfant pourrait devenir toxique avec du positif ?

Si quelqu’un.e a une réponse argumentée et sourcée, ça m’intéresse. Attention, je ne parle pas de surinvestissement éducatif qui fait de l’enfant le centre de l’attention, ni de laxisme qui est une attitude permissive et décourageante.

Je remets ça là pour visualiser la différence :

il manque le surinvestissement parental.


Souvent dans les « débats », discussions, échanges sur les réseaux sociaux, les « haters » (pardon mais je ne vois pas comment les qualifier tellement ils sont certains que l’éducation « normale » comporte obligatoirement du négatif, de l’obéissance et souvent la fessée « parce qu’on en n’est pas mort » pardi !) me qualifient de « perroquet » et m’accusent de brandir des concepts dangereux pour les enfants et donc de compromettre l’avenir de la France. C’est pas rien quand même.

Je les invite ici, en commentaire, à discuter de l’intérêt du mot « caprice » dans l’éducation et de partager ce qu’ils reprochent à la bienveillance et à la parentalité positive.

Merci d’avance pour vos lumières.



Questionnaire de la promo Envol et Matrescence/Paris

Des doulamies ont mis au point un questionnaire qui permettra d’affiner nos réponses aux besoins des familles. Merci pour leur travail. Je le partage ici, sentez-vous libre d’y répondre et de le faire voyager.

QUESTIONNAIRE Besoins des parents en matière d’accompagnement périnatal par une Doula.

Top 9 des films de ma planète

Récemment, je me suis posée la question des films qui ont jalonné ma vision du désir et de l’attente d’un enfant, de la naissance, de la maternité, de la petite enfance, de la parentalité et de la famille. Combien m’ont marquée ? 9, comme une grossesse.

Dans le désordre :

Vu dernièrement : la tente écarlate. La naissance et la maternité dans toute leur splendeur et leur vulnérabilité. La filiation y est primordiale et paradoxalement si fragile à cette époque. Etre fille ou fils de et parfois ne plus jamais revoir ses proches, tout est possible. Le destin est souvent tragique.

Le premier cri

encore éblouie par tant de beauté brute ! La naissance reste l’événement le plus douloureux de la Vie, quand la mort est une délivrance (en tous cas chez les orientaux).

Away we go

Tellement de rires, d’émotions et de réflexion !

Brodeuses

Vu avec ma promo EJE, pendant la formation. Magnifique film français qui a réussi à m’emporter à la découverte du monde de la broderie !

Juno

mes souvenirs sont lointains. J’avais autant ri que rempli mes yeux de larmes.

Bébés

une pépite avec des bébés tellement attachants. C’est bien le seul que je peux voir et revoir, sans fin.

Tully

Tellement réaliste. Etre mère c’est rarement « que du bonheur » au quotidien.

Un coup de cœur ou au cœur, j’hésite : Captain Fantastic. Une ode à la famille LIBRE !!

Unique film, dans lequel la relation mère-enfant, m’a fait pleurer en sanglots incontrôlables, dans une salle de cinéma : la passion du Christ, de Mel Gibson… Chéri ne savait plus quoi faire et moi non plus. Je serai incapable de le visionner une seconde fois.

@jout : Ma mémoire a retrouvé un dixième film et coïncidence, c’est Mémoire effacée : ce lien indestructible entre une mère et son enfant, jusqu’à la fin. C’est puissant.

Je remarque qu’il y a très peu de films français. C’est rare qu’ils me fassent vibrer, rêver ou même me sentir concernée. Je les trouve, souvent, trop exagérés, voire caricaturaux. « Je veux tout » et Enorme m’ont exaspérée.

Quels sont les vôtres ? Partageons, pour compléter nos coups de cœur les un’e’s les autres ?

21 années de maternité

21 ans en 2021


Il y a vingt et une année, l’aîné faisait de moi une mère. Je vous épargne une ode à la maternité. C’est de mon point de vue, très loin de n’être « que du bonheur ». {Cette expression me donne la nausée.}

J’ai voulu être mère. Je me souviens m’être adressée au Grand (manie) Tout, à l’Univers. A l’époque je disais encore Dieu, j’étais étudiante en théologie. Je lui avais dit que j’étais prête soit à :

  • Fonder une famille, à condition de rencontrer le partenaire capable de me supporter longtemps (= toute la vie)
  • Œuvrer pour Dieu, en entrant dans une vie de contemplation et de prières. Lui, Il était capable de me supporter ad vitam eternam.

Parce que la maternité n’a jamais été une étape obligatoire dans la vie d’une femme. Ni le mariage. Ni rien. La maternité était donc une option qui faisait partie de mes choix.

Il y en a qui disent qu’être mère ça devrait se mériter. Quels pourraient être les critères ?! Ce serait insensé.

A l’arrivée du premier, j’ai ressenti le poids de la responsabilité éternelle en simultané avec un Amour fulgurant, éternel aussi, ou plutôt inconditionnel. Pour le second, j’étais loin d’imaginer qu’il était possible de ressentir, à nouveau, un tsunami aussi gigantesque. Rien à voir avec l’instinct maternel. C’est impalpable et difficile à expliquer. Je ne sais même pas si tout le monde ressent cela.

Ce merveilleux ressenti est rapidement recouvert des préjugés et préconçus sociétaux. C’est en cela que l’instinct maternel est devenu une légende : la société que nous avons créée, nous en a littéralement dépossédées ou nous l’a fait croire. Si vous êtes suffisamment armée, alors cet Amour inconditionnel prendra sa place, sinon vous serez submergée par le poids du « c’est comme ça qu’il faut faire ». Comme pour accoucher.

Tout ça pour dire qu’il m’a fallut 21 ans pour comprendre que j’avais mon propre pouvoir (=je peux) et que je l’ai à peine utilisé. Est-ce que ça a un goût de gâchis ? Un peu oui.

En 2021, le monde a changé et continue de changer, peut-être trop rapidement. Même s’il est flou et semble chaotique, j’entrevois une prise de conscience positive. Une lueur d’espoir, au bout d’un long tunnel de pseudo liberté, qui de plus près ressemble presque à de l’obscurantisme. C’est écrit, au risque de passer pour une rebelle sans foi ni loi.

Aujourd’hui, je suis prête à œuvrer pour que l’être humain :

  • Naisse grâce à son pouvoir et celui de sa mère et de sa famille = « je peux enfanter sans assistance et privilégier la présence de qui je choisis ».
  • Grandisse grâce à son propre pouvoir = « je peux décider, je peux apprendre à mon rythme ».
  • Vive son propre pouvoir = « je peux vivre MA vie avec MES choix ».

En conclusion, je suis prête pour la réLOVution. Et vous ?

Tully

J’ai vu :

Je parle peu cinéma sur ma petite planète. C’est tellement personnel ce que je ressens après avoir vu un film. Je me vois mal partager mon avis sur chacun.

Tully est une exception, pour au moins deux raisons :

1. Ce film raconte du vécu (fictif certes, mais complètement probable, car déjà observé). Marlo cumule : une pré-ado, un enfant « singulier » (elle a raison, qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire !?!) et un bébé « surprise ». C’est beaucoup pour une seule femme. Mais ça arrive plus souvent qu’on ne le pense.

2. La version française cite les AVS et les EJE. J’ai même sursauté quand j’ai entendu : « c’est la baby-sitter, elle est éducatrice de jeunes enfants ». C’est un bon début, même si c’est une baby-sitter et qu’elle est légèrement bizarre.

AVS et EJE dans un même film, c’est suffisamment rarissime pour que ce soit remarquable. Qui d’autre y a fait attention, me demanderez-vous ? Si je vois le verre à moitié plein, j’ose penser que chaque spectateur l’aura, au moins, entendu. C’est déjà ça. Petit à petit.

Mon avis :

Pour partager quelques ressentis du film, je l’ai trouvé esthétiquement réussi. Mes yeux ont apprécié la douceur de la caméra et mes oreilles, celle de la bande-son (sauf à Brooklyn). La performance de Charlize Theron est bluffante. Celle de Mackenzie Davis aussi. C’est un film très étrange. La fin dévoile avec finesse le pourquoi de cette sensation de malaise, que j’ai eu dès l’apparition de la « nounou de nuit ».

J’ai pris connaissance des « nounous de nuit » quand j’avais une page Facebook, via la page (elle existe plus) de la Ptite Sylvia.  En France, le site « ma bonne fée » propose les services de nurses de nuit (et de jour) ainsi que Christelle et les petites fées du sommeil. L’idée m’avait parue, à la fois, saugrenue et pertinente (cf. mon sens du paradoxe)

Saugrenue parce que le lien entre la mère et le bébé n’appartient qu’à d.eux, les premières semaines. Comment laisser une parfaite inconnue s’immiscer entre d.eux ? Le tiers est le/la partenaire de vie puis la famille, par extension. Cela dit, en France, nous confions nos bébés de 2 mois et demi à de parfaits étrangers, donc…Donc, pourquoi pas à une nounou de nuit ? Pour prendre le relai ? Marlo donne l’impression d’avoir plus besoin d’une aide pour la journée et la fratrie.

Pertinente car une mère n’est pas censée être seule, pendant les premières semaines, avec son nourrisson ET un foyer à tenir. C’est une hérésie moderne occidentale qui a créée les fameux burn-out et baby-blues. Ça swingue en anglais. En français c’est plus psychiatrique : syndrome d’épuisement maternel, dépression post-partum et plus si affinités telle que la psychose puerpérale, entre autres.

Quelques traditions :

qui se rappellent qu’une grossesse, un accouchement et l’arrivée d’un bébé, c’est éprouvant.

« AU JAPON : ANSEI
la maman est aussi choyée que son bébé après l’accouchement. Pendant trois semaines, il est traditionnel pour la jeune maman de rester au lit, voire de séjourner dans la maison de ses parents. C’est aux autres membres de la famille que reviennent le ménage, la cuisine et les autres corvées, afin de lui laisser le temps de se reposer et de créer des liens forts avec son bébé.
EN AMERIQUE LATINE : LA CUARENTENA
Dans certains pays d’Amérique latine comme le Guatemala, la jeune maman qui vient d’accoucher n’a pas le droit de quitter la maison pendant 40 jours après l’accouchement. Le but est de faire en sorte que la jeune maman récupère et accumule suffisamment de forces et de nutriments pour produire un lait maternel riche et épais. »

La nuit, le cododo m’a épargnée de devenir un zombie à force de me lever, de marcher sur des legos et d’attendre que bébé soit suffisamment épuisé pour accepter d’être allongé tout seul dans SON lit…alors que nous venions de fusionner durant 9 mois. Quand le bébé est nourri au sein, ça peut devenir éreintant quand on sait que le lait maternel se digère en 20 minutes. Les nuits de pics de croissance, si tu te lèves à chaque tétée, tu risques d’aller droit dans le mur.

Marlo, elle gère ! Aussi grâce à Tully, mais à quel prix ? Vous le saurez en regardant le film.

Mathou

Réponse à des préjugés lus dans une discussion sur Facebook

Écrit suite à une discussion par rapport à la photo-buzz d’une maman ayant installé son bébé sur le sol d’un aéroport.


J’ai compté , ce qui me semble être 7 préjugés et autant de jugements, dans notre échange sur FB :

1. Juger une mère sans la connaitre ni connaitre le contexte, c’est franchement moche et vain. Les personnes les plus répréhensibles dans cette histoire, sont : celle qui a pris la photo et ceux qui la diffusent avec une citation qui n’appartient même pas à Einstein.
Pour info : il y a des microbes partout. Les bébés sont aussi au sol en crèche et franchement c’est parfois très sale, malgré le ménage fait très régulièrement.

Qui sait quelles démarches elle a faites cette mère ? Pas vous de toute évidence.

Source : Voici-pourquoi-il-faut-se-mefier-des-photos-avant-de-les-commenter.html


2. Confier son enfant est toujours un choix difficile dans un contexte toujours particulier. Votre histoire est un cas privé qui ne peut faire une généralité et puis ça ne regarde que vous. Confier son enfant ne le rend pas du tout, mais alors pas du tout plus vulnérable, quel énorme raccourci…Personne ne fait un enfant pour le confier à d’autres mais ça peut arriver. Un enfant, figurez-vous, grandit au sein d’une société à laquelle il sera irrémédiablement confronté, sauf si vous vivez sur la Lune. Il ira forcément quelque part sans ses parents…et ses choix lui appartiendront, comme celui de suivre ou non un inconnu mal intentionné.

suggestion de lecture

3. Les enfants enlevés le sont parfois en présence d’adultes. C’est extrêmement rapide un enlèvement, mais ça a l’air de totalement vous échapper. Et surtout ça peut arriver à n’importe quel âge… peu importe la protection qui vous entoure et peu importe l’excellente éducation que vous avez reçue….ça aussi ça semble vous échapper.

 

4. Facebook est une communauté. Tout ce qui est public porte bien son nom. Soit vous sécurisez votre page soit non et tout un chacun peut naviguer librement et se faire une idée vraie ou non sur vous. C’est très courant chez les recruteurs. La curiosité « mal placée », c’est quand on cherche ce qui est caché.

@jout : certains disent qu’on n’entre pas dans une maison sous prétexte que la porte n’est pas fermée à clé ou que la porte est ouverte. Sauf qu’une page facebook c’est bien plus qu’une maison, c’est une vitrine ! C’est en accès libre si aucun paramètres ne la protège. C’est comme ci les habitants d’une maison (si vraiment vous tenez à cette comparaison) affichaient des photos d’eaux sur la façade : passerez vous devant sans regarder ? Vous peut-être mais pas monsieur tout le monde.

5. Partagez des articles de différents auteurs, c’est tout autre chose que de la propagande, ça s’appelle informer. Chacun est libre, comme vous, de lire, de comprendre, d’accepter ou non et de diffuser à son tour ou PAS.

6. Aucun parent ne démissionne, c’est une légende urbaine. Quand on se penche sur la sociologie, ce qui est constaté c’est une perte des valeurs mais aussi une sorte de noyade sous le flot d’informations accessibles lesquelles, évidemment le plus souvent, se contredisent. Des parents ne savent plus quoi ni comment faire, ils sont perdus.

Il s’agit de DÉSARROI : Des-parents-qui-ne-savent-plus-a-quel-saint-se-vouer

Oui mon travail est de sensibiliser aussi à la parentalité, c’est ce que je fais mais contrairement à ce que vous insinuez, je ne cherche jamais à me mettre « en avant »…connaissez-vous mon identité, pour affirmer cela ?

7. Pour en finir, le fameux bisou, l’objet de la discussion. Le bisou c’est quand on veut, avec qui on veut. Forcer un enfant, quand c’est possible de faire autrement, c’est de la malveillance. Mais en effet, c’est mon humble avis.

Cet écrit était privé. Le temps a passé. Je le rends public car malheureusement, tant de gens sont remplis de préjugés…